J'ai composé cette chanson pour l'association "Les Enfants des Rues du Vietnam"sur une idée originale de sa Présidente Marlyse Michaud.Le travail fait en faveur des enfants défavorisés par cette organisation est remarquable.
On nous appelle poussière de vie des sans amour, des malapris
On nous appelle poussière de vie on pourrait croire qu’on est maudit.
On nous appelle poussière de vie on nous rejette avec mépris
On nous appelle poussière de vie on écoute même plus nos cris !
Un dollar Madame , un dollar Monsieur je’te cire les pompes et si tu veux
Pour quelques dollars de plus tu m’prends chez toi je ferai la pute
Tu sais c’est pas du tout marrant d’courrir les rues en quête d’argent
D’offir son corps à des passants qui se tapent des jeunes adolescents
Comme s’ils prennaient un verre de blanc en s’en foutant, mais royalement
Des coeurs qu’ils détruisent en passant
On passe nos jours on passe nos nuits en quête de quoi en quête de qui
Puisque pour nous y’ a pas d’futur on finira dans les ordures
Faut dire que de temps en temps y a des gens pas si méchant
Qui nous ramassent dans les rues nous donnent un toit une couverture
Et qui nous éduque à la dure un peu d’amour quelques sourires
Pour retrouver le goût de vivre pour n’être plus poussière de vie
Poussière de vie
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Ajouté le 6 mai 2007
Crédits et remerciements
J'ai composé cette chanson pour l'association "Les Enfants des Rues du Vietnam"sur une idée originale de sa Présidente Marlyse Michaud.Le travail fait en faveur des enfants défavorisés par cette organisation est remarquable.
On nous appelle poussière de vie des sans amour, des malapris
On nous appelle poussière de vie on pourrait croire qu’on est maudit.
On nous appelle poussière de vie on nous rejette avec mépris
On nous appelle poussière de vie on écoute même plus nos cris !
Un dollar Madame , un dollar Monsieur je’te cire les pompes et si tu veux
Pour quelques dollars de plus tu m’prends chez toi je ferai la pute
Tu sais c’est pas du tout marrant d’courrir les rues en quête d’argent
D’offir son corps à des passants qui se tapent des jeunes adolescents
Comme s’ils prennaient un verre de blanc en s’en foutant, mais royalement
Des coeurs qu’ils détruisent en passant
On passe nos jours on passe nos nuits en quête de quoi en quête de qui
Puisque pour nous y’ a pas d’futur on finira dans les ordures
Faut dire que de temps en temps y a des gens pas si méchant
Qui nous ramassent dans les rues nous donnent un toit une couverture
Et qui nous éduque à la dure un peu d’amour quelques sourires
Pour retrouver le goût de vivre pour n’être plus poussière de vie
Paroles et musique Raoul
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